Ma seconde édition de la course Paris-Versailles

Il y a des courses annuelles qu’on ne peut pas manquer, comme par exemple celle du Paris-Versailles que j’avais particulièrement appréciée l’année dernière. Avec l’été, j’ai beaucoup ralenti le Running, j’ai pratiqué de nouveaux sports comme la natation et le hiking. Du coup, je n’ai pas bien préparé, les courses de la rentrée La Parisienne

Le temps était magnifique, ce Dimanche 24 Septembre, par rapport à l’année dernière où nous avions eu un peu de bruine au 7-8ème km.

L’inconvénient lorsque l’on connaît déjà le parcours, c’est que l’on redoute les difficultés futures, on sait ce que l’on va vivre. D’un autre côté, c’est qu’on peut mieux les affronter quand elles arrivent.

J’ai trouvé que cela a été une force. J’appréhendai comme beaucoup la célèbre côte des gardes… Les trois montées ont été très difficiles, mais nous n’avions pas le choix que de les surmonter. J’avais gardé un excellent souvenir du passage dans la forêt, remplies de belles descentes.

Heureusement, ce moment a fini par arriver. Je me suis aussi souvenue, que les photographes se plaçaient environ à 2 km de la fin, ce qui en avait dérouté plus d’un, l’année dernière, car cela donne l’impression que cela est la fin, alors que pas du tout ! Cette année, je suis restée concentrée jusqu’à la ligne d’arrivée, ce qui m’a valu un chrono de 37’, soit 3 minutes de moins que l’année dernière.

Je n’ai rencontré aucun problème majeur, à part une douleur qui revient souvent sur mes courses, avec le 2ème doigt de pied qui tape dans le bout de ma chaussure. Je vous raconterai dans un prochain article, mon second rendez-vous chez Benoît Grellé, et les recommandations qu’il m’a données pour résoudre ce problème.

J’ai toujours un très bon ressenti sur cette course, avec un parcours varié, de beaux paysages et une arrivée sur le Château de Versailles. On va travailler les monter en côtes, pour tenter de faire encore baisser le chrono l’année prochaine.